"Il y avait de la folie dans tout les sens, à toute heure. On pouvait allumer des étincelles partout. Il y avait ce sentiment extraordinaire que quoi que nous fassions, c’était juste que nous étions en train de gagner. Et ça je crois, c’était la force qui nous poussait. Cette sensation de victoire inévitable sur les forces du vieillissement et du mal.. Pas au sens militaire du mot victoire, on en avait pas besoin. Notre énergie déborderai par dessus tout. Nous avions un élan formidable. Nous surfions sur la crête d’une vague très haute, et très belle. Alors maintenant, moins de 5 ans après, vous pouvez aller au sommet d’une colline escarpé de Las Vegas regarder vers l’ouest, et si vous avez le regard qu’il faut, vous pouvez voir la ligne de partage des eaux et de la terre, l’endroit où la vague a fini par déferler, et opérer son reflux"
"on avais deux sacs bourrés d'herbes, 75 plaquettes de mescaline, 5 feuilles complètes d'acide en buvard, une salière à moitié pleine de cocaïne, une galaxie multicolore de remontants, sédatifs, hilarants, larmoyants, criants. En plus une bouteille de tekila, une bouteille de rhum, une caisse de bière, un demi-litre d’éther pur et deux douzaine de Poppers"
Las Vegas Parano - Terry Gillian
Pas mal cette analyse cinématographique. Je n'y avais jamais pensé, mais c'est vrai que l'histoire du père qui ne voit rien de louche sur la caméra du gamin, ça m'avais fait tiquer aussi !
Ce mec est un génie !! Je conseil le sketch sur la physique quantique, son spectacle "que ma joie demeure" et le film magnifique "David et madame Hansen" !!